Ce sont les yeux sur la mer,
regardent
La lune au coeur de la nuit
Les étoiles eternelles,
Maintenant une vague immense
Tombe par terre
Ce sont les yeux sur la mer
Qui regardent quelque movent,
Qui regardent chaque mort
Toutes les reves sont disparus
La déesse parle avec des chiens
et des chattes
Le soldat trouve son tombe
derrière l’arbre de la vie.
Il fait froid.
Sigrid Engelbrecht, 2001 |